Welcome to the perfect world
Incohérences intermittentes et turpitudes insatiables, souffler de branche en branche le dernier mot jusqu'à la dernière seconde, et s'étaler là, au milieu de la scène, et puis sourire de béatitude au plafond tremblant qui restera le souvenir le plus précis, comme si notre vie se résumait à cela.
Eh l'homme, peut être que oui, peut être que si tu tombes là, c'est que tu n'es que ce pourquoi tu existe aux tous derniers instants. Enfin comprendre l'essence de chaque créature ; et paradoxalement, ne plus en savoir que faire. Exquis cadavres me direz vous, ce sont les illogismes de la nature. Puisque, encombrants et inutiles, nous marcherons tête baissé, œil rivé sur le pavé, jusqu'à ce que, par un hasard sublime, nous sortions de la caverne.
C'est vrai que je griffonne fébrilement, fiévreusement même. Mais c'est que cela me plaît à moi. On en a vu crever pour mieux, et pire réciproquement, c'est juste une question de relative subjectvité.